Maison ossature bois et paille dans les Vosges

Philippe & Corinne, jeunes retraités, nous nous lançons dans la construction de notre ““maison idéale ““, de plein pied, bien isolée, chauffée par un poêle de masse, sobre en technologie et en matériaux-pétrole mais en acceptant un peu de confort néanmoins. Nous souhaitons faire beaucoup de choses par nous-mêmes… et avec l’aide des bénévoles qui voudront bien nous soutenir, physiquement et moralement 😉

Notre projet est situé sur un ancien terrain de famille, à proximité d’un joli lac à quelques km d’Epinal, dans la “plaine des Vosges”, zone vallonnée à environ 370m d’altitude. Un ancien abri de pêche de mon grand-père nous sert de base de vie.

Le chantier doit démarrer fin juin 2024 : on fait faire le terrassement par un pro, et on se fait aider par un ami constructeur pour les fondations. Si tout va bien fin juillet on commence à manipuler des planches de Douglas pour la dalle bois puis l’ossature de la maison, et là quelques bras supplémentaires seront bienvenus !

Si vous venez donner un coup de main sur notre chantier, pour occuper vos moments libres, balade à pied ou location de VTT (circuit tour du lac 7km et plein d’autres sentiers en forêt), pédalo, natation, plage, planche à voile, canoë… et visite de la ferme aquaponique voisine. Un peu plus loin, à Epinal, le musée de l’imagerie…

Auto-construction d’une maison de plein pied, 110m² de plancher

A proximité d’un lac sympa

1. Décaissage du vide-sanitaire.

2. Pose des chaises pour tendre les ficelles définissant précisément la géométrie extérieure des murs .

3. Première pluie, la piscine se remplit, les ficelles disparaissent par endroits. Il faut pomper pour poursuivre !

4. Le manitou et la pelle qui interviennent pour faire les saignées de fondations pataugent dans la boue et détruise le sol du vide-sanitaire 🙁

5. les saignées sont faites pour les semelles de fondations.

6. Pose des ferrailles, et pluie. Les ferrailles disparaissent, la terre s’effondre dans les fouilles, Il faut re-pomper, le cubage de béton nécessaire est revu à la hausse 2 jours avant la venue de la toupie.

7. Par chance, le matin où la toupie vient livrer le béton, il fait beau !!

8. Quelques jours plus tard, les premiers rangs d’agglos montent, les orages se poursuivent, on travaille en bottes et les brouettes (transport d’agglos ou de mortier) sont difficiles à piloter mais ça progresse…